J’habite en Seine-et-Marne (77). Ici, j’écris et je photographie. Mais surtout, je regarde le monde de biais — non pas pour jouer les originaux, mais parce qu’en ligne droite, il me semble qu’on rate toujours quelque chose d’essentiel.

Lorsque j’ouvre mon carnet, les mots prennent la lumière. Lorsque je lève mon appareil, les images se mettent à chuchoter. Certaines murmurent à l’oreille, d’autres crient dans le vent, mais toutes, à leur manière, se drapent d’un panache discret.

Ma plume aime les silences. Elle s’attarde sur les détails qu’on ne remarque pas, ces petits riens qui font tout. Mon objectif, lui, s’entête à suivre ce que l’œil pressé abandonne : un éclat furtif, un sourire volé, un caillou qui porte en lui la mémoire des siècles.

Ce site n’est pas une vitrine. C’est un chemin de traverse, une promenade sans plan ni boussole. Un peu comme entrer dans une brocante : on y découvre des objets insolites, des trésors inattendus, des souvenirs qui ne vous appartiennent pas encore.

Vous y croiserez des textes, des images, des paysages, des fragments de vie et, au détour, quelques émotions éclatantes — certaines douces, d’autres piquantes, mais toujours sincères.

Alors, merci d’avoir poussé la porte. Entrez sans frapper, installez-vous comme chez vous. Le café est imaginaire, certes, mais l’accueil est réel. Bienvenue dans mon monde.

Un empire déchu. Un peuple divisé. Un héritier qui refuse de devenir roi.

Des marais de Kallor aux ruines de Keralis, en passant par la mystérieuse Cité-Miroir, suivez la quête de Léonus et de ses compagnons pour rallumer l’espoir dans un monde fracturé par les trahisons et la guerre.

Porté par des personnages forts, une tension politique haletante et une dimension humaine bouleversante, Lomaré – Les Cendres de l’Empire est un récit de lutte, de mémoire et de choix.

Quand tout est perdu, que reste-t-il à défendre ?

« Parfois, il faut tout briser pour espérer reconstruire. »

Léonus devra choisir : devenir un roi… ou libérer un peuple.